Henry GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSEÂge : 75 ans18031879

Nom
Henry GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE
Naissance 14 décembre 1803 30 27
Baptême 31 décembre 1803 (Âge 17 jours)
Note :

Parrain: David Henri Huguenin-Virchaux Marraine: Rose .... femme du parrain.

Naissance d’un frèreLucien GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE
6 février 1807 (Âge 3 ans)
Profession
Horloger Et Homme Politique

Baptême d’un frèreLucien GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE
22 février 1807 (Âge 3 ans)
Mariage d’un(e) frère/sœurHenri Gustave « Gustave » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSEAugustine MATTHEY-JUNODAfficher cette famille
6 août 1825 (Âge 21 ans)
Mariage d’un(e) frère/sœurLucien GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSERosette Henriette ROGNONAfficher cette famille
25 mars 1829 (Âge 25 ans)
Mariage d’un(e) frère/sœurEugène GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSEHenriette VUILLEUMIERAfficher cette famille
1830 (Âge 26 ans)

Note :

Le mariage a peut être eu lieu à Varsovie. Une confusion de prénom (avec celui du père d'Eugène) a eu lieu lors de la saisie des bans à la Sagne. Par contre la saisie des bans à Dombresson pour Henriette Vuilleumier semble juste.

Mariage d’un(e) frère/sœurLucien GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSEElise Frédérique Louise CARTIERAfficher cette famille
16 février 1831 (Âge 27 ans)
MariageElise MONTANDONAfficher cette famille
7 mai 1831 (Âge 27 ans)
Domicile 1831 (Âge 27 ans)
Adresse : Rue Girardet 62
BaptêmeHenri Tell GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE
10 août 1833 (Âge 29 ans)
Décès du pèreDavid Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE
7 avril 1846 (Âge 42 ans)
Cause : Apoplexie
Enterrement du pèreDavid Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE
10 avril 1846 (Âge 42 ans)
Décès d’un frèreHenri Gustave « Gustave » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE
28 août 1877 (Âge 73 ans)
Cause : Apoplexie
Décès d’une épouseElise MONTANDON
1 juillet 187820H45 (Âge 74 ans)
Adresse : Rue du Verger 90
Cause : Squirrhe du sein
Enterrement de l’épouseElise MONTANDON
4 juillet 1878 (Âge 74 ans)
Décès 21 mars 187909H30 (Âge 75 ans)
Adresse : Rue du Verger 90
Cause du décès : Dégénérescence graisseuse du coeur
Sépulture 24 mars 1879 (3 jours après le décès)
Famille avec les parents - Afficher cette famille
père
mère
Mariage : 1798LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse
13 mois
frère plus âgé
3 ans
frère plus âgé
22 mois
lui
Henry GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE
Naissance : 14 décembre 1803 30 27LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse
Décès : 21 mars 1879LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse
3 ans
frère plus jeune
Famille avec Elise MONTANDON - Afficher cette famille
lui
Henry GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE
Naissance : 14 décembre 1803 30 27LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse
Décès : 21 mars 1879LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse
épouse
Elise MONTANDON
Naissance : 24 octobre 1813LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse
Décès : 1 juillet 1878LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse
Mariage : 7 mai 1831LES PONTS-DE-MARTEL, -, Neuchâtel, Suisse

  1. Génération 1
    1. Henry GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, horloger Et Homme Politique, fils de David Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Suzanne Marie LENOIR, naquit le 14 décembre 1803 à LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse et mort le 21 mars 1879 à LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse à l’âge de 75 ans. Il a épousé Elise MONTANDON, fille de Isaac Pierre MONTANDON et Marianne STAUFFER, le 7 mai 1831 à LES PONTS-DE-MARTEL, -, Neuchâtel, Suisse. Elle naquit le 24 octobre 1813 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse et morte le 1 juillet 1878 à LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse à l’âge de 64 ans.

Baptême

Parrain: David Henri Huguenin-Virchaux Marraine: Rose .... femme du parrain.

Note partagée

Il a été baptisé au moûtier le 31 décembre 1803. Il est mort le 21 mars 1879 au 90 de la rue du Verger au Locle. Chronométrier, il reprend l'atelier d'horlogerie de son père. Grand exportateur de montres en amérique du sud et centrale où il fit 14 voyages. Sa manufacture obtint plusieurs prix aux expositions universelles et il continua son activité jusqu'en 1814. Il a aussi été l'instigateur et parmis les fondateurs de l'observatoire cantonal de Neuchâtel. Il conçu et dirigea l'importante entreprise de la construction du quartier du Progrès au Locle et prit activement part à l'établissement du chemin de fer industriel du jura. Homme politique favorable au régime républicain, il prend part à la révolution qui renversa le régime royaliste. Chronométier, fabricant d'horloges, homme politique, une rue du Locle porte son nom. Il est membre du gouvernement provisoir de 1848. 1841, Il est membre honorifique de la société d'émulation patriotique. 16/06/1848, il est nommé préfet du District du Locle. Il est sans descendance.

Note

Né le 14.12.1803 au Locle, Décedé le 21.3.1879 au Locle, prot., de La Sagne et des Ponts-de-Martel. Fils de David Henri, horloger, et de Suzanne Marie Lenoir. marié en 1831 avec Elise Montandon, fille d'Isaac Pierre. Apprentissage d'horloger au Locle. G. se rend au Brésil pour développer les comptoirs créés par son père ?(1824-1830)?. A son retour au Locle, il reprend l'entreprise paternelle sous le nom de H. Grandjean & Cie et se spécialise dans la chronométrie de précision. Initiateur de l'Observatoire de Neuchâtel et de l'école d'horlogerie du Locle. Membre du comité révolutionnaire du Locle et du gouvernement républicain provisoire, député à l'Assemblée constituante de 1848, député radical au Grand Conseil neuchâtelois?(1848-1879)?, préfet du Locle. Conseiller national ?(1858-1861, 1867-1880)?. Franc-maçon ?(1848-1852)?.

Note

Quartier-Neuf, idée neuve NOS QUARTIERS D'ÉTÉ C'est par le Quartier-Neuf, à l'est du Locle, que se poursuivent nos balades à travers les villes du Haut. Au milieu du XIXe, on y a conçu, sous forme de coopérative, des maisons pour la classe ouvrière

Par C l a i r e - L i s e D r o z

A chaque maison son jardin, de la lumière, de l'air: les principes de salubrité appliqués par les concepteurs, au XIXe siècle induisaient aussi une convivialité qui n?est pas démentie aujourd'hui. Le Quartier-Neuf, qui fut appelé aussi Quartier du Progrès, «c'est un exemple qui pourrait être une référence par rapport à l'Unesco», commente l'architecte communal, Jean-Marie Cramatte. On sait que Le Locle est, avec La Chaux-de-Fonds, candidate à l'inscription au patrimoine mondial de l'Unesco. En 1855, Edouard Thévenaz et Henry Grandjean, patron, grand horloger, révolutionnaire de 1848 et philanthrope, annoncent qu'ils veulent construire des maisons à bon marché, saines et sans luxe, pour la classe ouvrière. Et cela sous forme de coopérative. «Une grande idée du socialisme pratique» Un avis aux habitants du Locle, daté d'octobre 1855 précise que le but est «de faire autant de propriétaires que possible, en engageant les locataires, par un premier versement de fonds de 100 francs jusqu'à concurrence de 5000 francs, versés par fractions, à devenir propriétaires et à être logés à bon marché». Les principes du Sonnenbau Ce qui avait aussi pour but de lutter contre la spéculation immobilière. L'argument hygiéniste est important pour les concepteurs: salubrité, lumière, aération, suivant les principes du Sonnenbau, développé par le médecin allemand Bernhard-Christoph Faust, afin de lutter contre les épidémies. Un terrain à bâtir pour 40 maisons est acquis près de la maison que Grandjean s'est fait construire en 1831 ?(aujourd'hui Girardet 62)?. L'architecte Hans Rychner dresse les premières esquisses. Le plan de quartier prévoit la construction de 23 massifs ?(ensemble de trois à six maisons)? en bandes et trois massifs irréguliers. Les travaux ne sont pas ralentis par la tentative, avortée, du coup d'état royaliste du 3 septembre 1856, relate l'«Almanach de la République et canton de Neuchâtel». «En entendant les partisans de l'ancien régime clamer: «Vive le roi, à bas la République, à bas les chemins de fer, à bas le quartier neuf!» on ne peut qu'être convaincu de l'impact idéologique que représente la construction de ce quartier ouvrier». Accès à la propriété En 1857, on fête la levure des 18 premières maisons. Un ouvrier français propose: «Et maintenant, mes amis, baptisons ce nouveau village d'un nom qui ne vieillisse jamais, appelons-le le quartier du Progrès !» Tandis qu'Auguste Lambelet ?(relate Jung)? rappelait les mobiles ayant inspiré l'association immobilière: «Une grande idée de socialisme pratique, l'application du système fraternel et fécond de l'association, un commencement de solution du logement à bon marché, enfin, pour l'ouvrier, l'ouverture d'un facile accès à la petite propriété». Le quartier s'étoffe. On y ouvre divers commerces et l'auberge des Industriels ?(qui deviendra le café des Chasseurs, connu loin à la ronde à l'époque pour ses célèbres filets de perche!)? Puis, la situation économique se dégrade, le chemin de fer du Jura industriel dépose son bilan en décembre 1860, les finances de la ville sont catastrophiques, la population passe de 9500 habitants en 1859 à 8900 en 1862. La moitié du quartier projeté est construit et les initiateurs de l'entreprise philanthropique doivent passer la main à d'autres gestionnaires. Mais l'homogénéité du quartier a été sauvegardée. Les 13 massifs d'origine ont conservé leur volume, et le Quartier-Neuf, situé entre la zone industrielle et le centre- ville, à l'est du Locle, a conservé tout son charme. /CLD

Note

Fils de David Henri Grandjean-Perrenoud-Comtesse ?(1774 -1845)?, fabricant d'horlogerie. Préfet du Locle de 1848 à 1852. Membre du Grand Conseil neuchâtelois. Député au Conseil national suisse. A reçu de nombreuses distinctions lors de sa par ticipation à des concours ou expositions, en Suisse et à l'étranger, qui ont honoré la qualité de ses produits ?(MTHS)?.

Note

Voir également dans le dictionnaire historique suisse: http://hls-dhs-dss.ch/textes/f/F4513.php

Note partagée

Sans descendance.