Naissance | 28 avril 1821 27 27 Note : 1815 : Congrès de Vienne, devient un canton suisse (mais reste principauté prussienne jusqu'en 1848) Le 1er mars 1848, les Républicains neuchâtelois, partis du Locle, de La Chaux-de-Fonds, du Val-de-Travers et de la Béroche sous les ordres de Fritz Courvoisier, conquièrent le château et y installent un gouvernement provisoire, présidé par Alexis-Marie Piaget. Neuchâtel devient République et du même coup un canton suisse à part entière. |
Baptême | 12 mai 1821 (Âge 14 jours) Note : Parrain: Philippe Perret Marraine: Sophie Droz-dit-Busset |
Décès d’une sœur | Lucie GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 4 septembre 1822 (Âge 16 mois) Adresse : Elle est décédée au lieu-dit les Combes Cause : Scarlatine |
Naissance d’un frère | Ulysse GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 28 décembre 1822 (Âge 20 mois) |
Profession | Conseiller Général |
Domicile | |
Baptême d’un frère | Ulysse GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 9 février 1823 (Âge 21 mois) Note : Parrain: Braham Louis Robert-Charrue Marraine: Emilie Sandoz, femme du parrain. |
Naissance d’un frère | Charles Auguste GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 9 juillet 1825 (Âge 4 ans) |
Baptême d’un frère | Charles Auguste GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 11 août 1825 (Âge 4 ans) Marraine : Reine Esther JACOT-DESCOMBES — tante Parrain : Aimable Florence Jeanne CUENOT — Relation |
Naissance d’un frère | Philippe GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 30 juillet 1828 (Âge 7 ans) |
Baptême d’un frère | Philippe GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 24 août 1828 (Âge 7 ans) |
Naissance d’une sœur | Julie Frédérique GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 28 décembre 1829 (Âge 8 ans) |
Baptême d’une sœur | Julie Frédérique GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 25 février 1830 (Âge 8 ans) Note : Parrain: Frédéric Louis Jeanneret-Grosjean Marraine: Julie née Jeanneret, femme du parain. |
Décès d’un frère | Ulysse GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 20 août 1831 (Âge 10 ans) Cause : Mort d'une blessure |
Enterrement d’un frère | Ulysse GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 23 août 1831 (Âge 10 ans) |
Décès de la mère | Sophie JACOT-DESCOMBES 16 juin 1832 (Âge 11 ans) Cause : Fièvre nerveuse |
Enterrement de la mère | Sophie JACOT-DESCOMBES 19 juin 1832 (Âge 11 ans) |
Naissance d’un demi-frère | Alfred Marcel « Marcel » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 16 décembre 1835 (Âge 14 ans) |
Baptême d’un demi-frère | Alfred Marcel « Marcel » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 24 février 1836 (Âge 14 ans) Note : Parrain: Pierre Jacot de Montmollin, Marraine: Henriette Jacot, soeur du parrain. L'enfant est placé chez son parrain Pierre Jacot. |
Mariage d’un parent | Charles Auguste GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Amélie JEANRICHARD-DIT-BRESSEL — Afficher cette famille 5 janvier 1839 (Âge 17 ans) |
Mariage | Reine Mélina « Mélina » PERRENOUD — Afficher cette famille 20 juillet 1844 (Âge 23 ans) |
Domicile | 1844 (Âge 22 ans) |
Naissance d’une fille #1 | Sophie Adèle Elizabeth GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 20 mai 1845 (Âge 24 ans) |
Baptême d’une fille | Sophie Adèle Elizabeth GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 21 juin 1845 (Âge 24 ans) Note : Parrain: Fritz Borel Marraine: Judith Marie Louise Frédérique Françoise Elisabeth Seydelle. |
Naissance d’une fille #2 | Anaïs Georgette GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 23 avril 1846 (Âge 24 ans) |
Baptême d’une fille | Anaïs Georgette GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 2 mai 1846 (Âge 25 ans) Parrain : Charles Auguste GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — oncle Marraine : Marianne Adélaïde MATTHEY-DUPRAZ — grand-mère maternelle |
Décès d’une fille | Anaïs Georgette GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 4 juin 1846 (Âge 25 ans) Cause : Convulsions |
Enterrement d’une fille | Anaïs Georgette GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 7 juin 1846 (Âge 25 ans) |
Décès d’une fille | Sophie Adèle Elizabeth GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 29 juillet 1846 (Âge 25 ans) Cause : Cause indéterminée |
Enterrement d’une fille | Sophie Adèle Elizabeth GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 1 août 1846 (Âge 25 ans) |
Naissance d’un fils #3 | Auguste Adamir GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 21 avril 1847 (Âge 25 ans) |
Baptême d’un fils | Auguste Adamir GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 22 mai 1847 (Âge 26 ans) Note : Parrain: Auguste Steiner Marraine: Sophie Victorine Brandt |
Décès d’un fils | Auguste Adamir GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 24 juillet 1847 (Âge 26 ans) Cause : Cause indéterminée |
Enterrement d’un fils | Auguste Adamir GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 27 juillet 1847 (Âge 26 ans) |
Naissance d’une fille #4 | Elise GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 12 juin 1848 (Âge 27 ans) |
Baptême d’une fille | Elise GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 19 juillet 1848 (Âge 27 ans) Note : Parrain: Fritz Yosi Marraine: Elise Yosi, soeur du parrain. |
Naissance d’un fils #5 | Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 2 juillet 1849 (Âge 28 ans) |
Baptême d’un fils | Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 21 juillet 1849 (Âge 28 ans) Note : Parrain: Rodolph Zürcher Marraine: Amélie Burki, femme du parrain. |
Mariage d’un(e) frère/sœur | Charles Auguste GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Adeline Elisa DROZ-DIT-BUSSET — Afficher cette famille 4 mai 1850 (Âge 29 ans) |
Mariage d’un(e) frère/sœur | Philippe GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Eugenie IMHOF — Afficher cette famille 5 octobre 1850 (Âge 29 ans) |
Naissance d’un fils #6 | Henri Albert GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 1 avril 1851 (Âge 29 ans) |
Baptême d’un fils | Henri Albert GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 17 mai 1851 (Âge 30 ans) Marraine : Thérèse Nérina PERRENOUD — tante Note : Parrain: Auguste Steiner
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Décès d’un fils | Henri Albert GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 21 mai 1851 (Âge 30 ans) Cause : Convulsions |
Enterrement d’un fils | Henri Albert GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 24 mai 1851 (Âge 30 ans) |
Naissance d’un fils #7 | Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 30 avril 1852 (Âge 31 ans) |
Baptême d’un fils | Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 22 mai 1852 (Âge 31 ans) Note : Parrain: Victor Reuter Marraine: Lina Matthey Pierret, femme du parrain. |
Naissance d’une fille #8 | Pauline Mélina GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 22 août 1853 (Âge 32 ans) |
Baptême d’une fille | Pauline Mélina GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 15 octobre 1853 (Âge 32 ans) Marraine : Thérèse Nérina PERRENOUD — tante Note : Parrain: Jules César Clerc
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Mariage d’un(e) frère/sœur | Francois Daniel TOUCHON — Julie Frédérique GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Afficher cette famille Type : Mariage civil 18 novembre 1853 – 16H00 (Âge 32 ans)Note : Ulysse Nardin, Etablisseur du Locle, est également témoin.
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Naissance d’un fils #9 | Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 3 janvier 1857 (Âge 35 ans) |
Mariage d’un(e) frère/sœur | Philippe GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Fanny Louise VERDAN — Afficher cette famille Type : Mariage civil 3 juin 1857 – 16H00 (Âge 36 ans) |
Naissance d’un fils #10 | Fritz Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 2 mai 1859 – 09H00 (Âge 38 ans) |
Naissance d’un fils #11 | Louis GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 11 juin 1860 – 15H00 (Âge 39 ans) |
Décès du père | Charles Auguste GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE avant 1874 (Âge 52 ans) |
Mariage d’un(e) demi-frère/demi-sœur | Alfred Marcel « Marcel » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Julie Elise Simone BOILLAT — Afficher cette famille 7 mars 1874 (Âge 52 ans) |
Mariage d’un(e) frère/sœur | Charles Auguste GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Marie HORN — Afficher cette famille 31 mars 1874 (Âge 52 ans) |
Décès d’un demi-frère | Alfred Marcel « Marcel » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 13 mars 1877 (Âge 55 ans) |
Décès d’un frère | Jules GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 14 juillet 1877 – 14H00 (Âge 56 ans) |
Mariage d’un enfant | Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Marie Eugénie AMSTUTZ — Afficher cette famille 12 octobre 1878 (Âge 57 ans) |
Mariage d’un enfant | Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Francine Joséphine FRÉMAUX — Afficher cette famille 24 avril 1879 (Âge 57 ans) |
Naissance d’un petit-fils #1 | Eugéne Henri GRANDJEAN 2 août 1879 (Âge 58 ans) |
Naissance d’une petite-fille #2 | Mélina Flore GRANDJEAN 13 mars 1880 (Âge 58 ans) |
Baptême d’une petite-fille | Mélina Flore GRANDJEAN 17 juin 1880 (Âge 59 ans) Note : Parrain : Paul Eugène Frémaux Marraine : Céline léonie Garcia née Frémaux |
Naissance d’une petite-fille #3 | Estelle GRANDJEAN 11 octobre 1880 (Âge 59 ans) |
Décès d’un frère | Philippe GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 15 mai 1881 – 03H20 (Âge 60 ans) Adresse : Rue des Marais 265 Cause : Maladie de Bright |
Enterrement d’un frère | Philippe GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 17 mai 1881 (Âge 60 ans) |
Naissance d’un petit-fils #4 | Léon Henri GRANDJEAN 9 janvier 1882 (Âge 60 ans) |
Baptême d’un petit-fils | Léon Henri GRANDJEAN 26 février 1882 (Âge 60 ans) Note : Parrain : Henri Joseph Frémaux Marraine : Marie Garcia Elizabeth Ednée Jung |
Mariage d’un enfant | Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Marguerite Angèle PERRET — Afficher cette famille 24 novembre 1882 (Âge 61 ans) |
Naissance d’un petit-fils #5 | Jules Henri « Henri » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 20 février 1883 – 09H00 (Âge 61 ans) |
Naissance d’une petite-fille #6 | Berthe GRANDJEAN 6 décembre 1883 (Âge 62 ans) |
Mariage d’un enfant | Fritz Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Erika Aurora RUNDEBERG — Afficher cette famille Type : Mariage civil 15 décembre 1883 (Âge 62 ans) |
Naissance d’un petit-fils #7 | Louis Victor « Victor » GRANDJEAN-PERRENOUD 5 mars 1884 – 19:30 (Âge 62 ans) |
Baptême d’un petit-fils | Eugéne Henri GRANDJEAN 6 juillet 1884 (Âge 63 ans) |
Baptême d’une petite-fille | Estelle GRANDJEAN 6 juillet 1884 (Âge 63 ans) |
Baptême d’une petite-fille | Berthe GRANDJEAN 6 juillet 1884 (Âge 63 ans) |
Naissance d’une petite-fille #8 | Caroline Reine GRANDJEAN 5 septembre 1884 (Âge 63 ans) |
Baptême d’une petite-fille | Caroline Reine GRANDJEAN 4 novembre 1884 (Âge 63 ans) Note : Parrain : Joseph Garcia Marraine : Caroline Garcia |
Mariage d’un enfant | Herman HOFER — Pauline Mélina GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE — Afficher cette famille Type : Mariage civil 22 août 1885 (Âge 64 ans) |
Naissance d’une petite-fille #9 | Jeanne Berthe GRANDJEAN-PERRENOUD 19 novembre 1885 – 23:30 (Âge 64 ans) |
Naissance d’un petit-fils #10 | Arnold Fernand « Fernand » GRANDJEAN-PERRENOUD 6 janvier 1887 – 04H00 (Âge 65 ans) Adresse : Rue Léopold-Robert n°51 |
Décès d’un fils | Louis GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE 1 mars 1887 (Âge 65 ans) |
Baptême d’un fils | Fritz Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE |
Décès | 28 août 1887 (Âge 66 ans) |
Titre | Bourgeois de Valangin |
Famille avec les parents |
père |
Naissance : 5 mai 1793 33 36 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : avant 1874 |
mère |
Sophie JACOT-DESCOMBES Naissance : 3 mars 1794 38 40 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 16 juin 1832 — NEUCHÂTEL, -, Neuchâtel, Suisse |
Mariage : 26 juillet 1816 — Les Ponts-de-Martel, -, Neuchâtel, Suisse |
|
10 mois frère plus âgé |
Jules GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 16 mai 1817 24 23 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 14 juillet 1877 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse |
2 ans sœur plus âgée |
Lucie GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 19 octobre 1819 26 25 Décès : 4 septembre 1822 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse |
18 mois lui |
Naissance : 28 avril 1821 27 27 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 28 août 1887 — OAKLAND, -, CALIFORNIE, USA |
20 mois frère plus jeune |
Ulysse GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 28 décembre 1822 29 28 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 20 août 1831 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse |
3 ans frère plus jeune |
Naissance : 9 juillet 1825 32 31 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 22 janvier 1894 — Genève, -, Canton de Genève, Suisse |
3 ans frère plus jeune |
Philippe GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 30 juillet 1828 35 34 — LA SAGNE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 15 mai 1881 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse |
17 mois sœur plus jeune |
Julie Frédérique GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 28 décembre 1829 36 35 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 3 janvier 1903 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse |
La famille du père avec Marie Henriette NADENBUSCH |
père |
Naissance : 5 mai 1793 33 36 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : avant 1874 |
belle-mère |
Marie Henriette NADENBUSCH Naissance : 21 janvier 1815 — SERRIÈRES, -, Neuchâtel, Suisse Décès : |
demi-frère |
Alfred Marcel « Marcel » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 16 décembre 1835 42 20 — VALANGIN, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 13 mars 1877 — SONVILLIERS, -, Kanton Bern, Suisse |
La famille du père avec Amélie JEANRICHARD-DIT-BRESSEL |
père |
Naissance : 5 mai 1793 33 36 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : avant 1874 |
belle-mère |
Amélie JEANRICHARD-DIT-BRESSEL Naissance : 1793 Décès : 17 avril 1857 — LAUSANNE, -, Canton de Vaud, Suisse |
Mariage : 5 janvier 1839 — CORNAUX, -, Neuchâtel, Suisse |
Famille avec Reine Mélina « Mélina » PERRENOUD |
lui |
Naissance : 28 avril 1821 27 27 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 28 août 1887 — OAKLAND, -, CALIFORNIE, USA |
épouse |
Naissance : 17 octobre 1825 29 — LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 31 décembre 1896 — BRUGG, -, Argovie, Suisse |
Mariage : 20 juillet 1844 — LA BREVINE, -, Neuchâtel, Suisse |
|
10 mois fille |
Sophie Adèle Elizabeth GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 20 mai 1845 24 19 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 29 juillet 1846 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse |
11 mois fille |
Anaïs Georgette GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 23 avril 1846 24 20 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 4 juin 1846 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse |
1 an fils |
Auguste Adamir GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 21 avril 1847 25 21 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 24 juillet 1847 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse |
14 mois fille |
Elise GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 12 juin 1848 27 22 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : |
13 mois fils |
Naissance : 2 juillet 1849 28 23 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 17 juin 1900 — NEW ORLEANS, -, LOUISIANE, USA |
21 mois fils |
Henri Albert GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 1 avril 1851 29 25 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 21 mai 1851 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse |
13 mois fils |
Naissance : 30 avril 1852 31 26 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 11 novembre 1919 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse |
16 mois fille |
Naissance : 22 août 1853 32 27 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : |
3 ans fils |
Naissance : 3 janvier 1857 35 31 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : avant 1929 |
2 ans fils |
Fritz Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 2 mai 1859 38 33 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 27 décembre 1929 — MONTHEY, -, Canton du Valais, Suisse |
13 mois fils |
Louis GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE Naissance : 11 juin 1860 39 34 — LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse Décès : 1 mars 1887 — OAKLAND, -, CALIFORNIE, USA |
- Génération 1
Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, conseiller Général, fils de Charles Auguste GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Sophie JACOT-DESCOMBES, naquit le 28 avril 1821 à LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse et mort le 28 août 1887 à OAKLAND, -, CALIFORNIE, USA à l’âge de 66 ans. Il a épousé Reine Mélina « Mélina » PERRENOUD, fille de Charles Frederic PERRENOUD et Marianne Adélaïde MATTHEY-DUPRAZ, le 20 juillet 1844 à LA BREVINE, -, Neuchâtel, Suisse. Elle naquit le 17 octobre 1825 à LE LOCLE, -, Neuchâtel, Suisse et morte le 31 décembre 1896 à BRUGG, -, Argovie, Suisse à l’âge de 71 ans.
Enfants de Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Reine Mélina « Mélina » PERRENOUD:
- Sophie Adèle Elizabeth GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1845–1846)
- Anaïs Georgette GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1846–1846)
- Auguste Adamir GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1847–1847)
- Elise GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1848–)
- Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1849–1900)
- Henri Albert GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1851–1851)
- Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1852–1919)
- Pauline Mélina GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1853–)
- Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1857–1929)
- Fritz Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1859–1929)
- Louis GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1860–1887)
- Génération 2Retour en haut de la page
Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, ingénieur CIVIL, fils de Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Reine Mélina « Mélina » PERRENOUD, naquit le 2 juillet 1849 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse et mort le 17 juin 1900 à NEW ORLEANS, -, LOUISIANE, USA à l’âge de 50 ans. Il a épousé Francine Joséphine FRÉMAUX, fille de Léon Joseph FRÉMAUX et Flore Caroline Marion DE MONTILLY, le 24 avril 1879 à NEW ORLEANS, -, LOUISIANE, USA. Elle naquit le 3 août 1852 à DONALDSONVILLE, -, Louisiane, USA.
Enfants de Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Francine Joséphine FRÉMAUX:
- Mélina Flore GRANDJEAN (1880–1917)
- Léon Henri GRANDJEAN (1882–1950)
- Caroline Reine GRANDJEAN (1884–1961)
- Louis Emile GRANDJEAN (1889–1923)
- Sidney George GRANDJEAN (1891–1968)
Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, graveur puis voyageur de commerce, fils de Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Reine Mélina « Mélina » PERRENOUD, naquit le 30 avril 1852 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse et mort le 11 novembre 1919 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse à l’âge de 67 ans. Il a épousé Marguerite Angèle PERRET, fille de Jules Ami PERRET et Louise Florine DROZ-DIT-BUSSET, le 24 novembre 1882 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse. Elle naquit le 22 juin 1857 à Ecole-Valentin, Doubs, Franche Comté, France et morte le 15 mai 1946 à BOUDRY, -, Neuchâtel, Suisse à l’âge de 88 ans.
Enfants de Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Marguerite Angèle PERRET:
- Jules Henri « Henri » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1883–1948)
- Louis Victor « Victor » GRANDJEAN-PERRENOUD (1884–1938)
- Jeanne Berthe GRANDJEAN-PERRENOUD (1885–1976)
- Arnold Fernand « Fernand » GRANDJEAN-PERRENOUD (1887–1932)
- Louise Angèle GRANDJEAN-PERRENOUD (1888–)
Pauline Mélina GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, artiste Peintre, fille de Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Reine Mélina « Mélina » PERRENOUD, naquit le 22 août 1853 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse. Elle a épousé Herman HOFER, fils de Jacob HOFER et … EGLI, le 22 août 1885 à OAKLAND, -, CALIFORNIE, USA. Il naquit le 25 juin 1857 à ZURICH, -, Kanton Zürich, Suisse.
Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, fils de Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Reine Mélina « Mélina » PERRENOUD, naquit le 3 janvier 1857 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse et mort avant 1929. Il a épousé Marie Eugénie AMSTUTZ le 12 octobre 1878 à OAKLAND, -, CALIFORNIE, USA. Elle naquit le 1 octobre 1857 et morte avant 1929.
Enfants de Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Marie Eugénie AMSTUTZ:
- Eugéne Henri GRANDJEAN (1879–1958)
- Estelle GRANDJEAN (1880–)
- Berthe GRANDJEAN (1883–1942)
Fritz Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, comptable (en 1883) et directeur commercial (avant 1929), fils de Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Reine Mélina « Mélina » PERRENOUD, naquit le 2 mai 1859 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse et mort le 27 décembre 1929 à MONTHEY, -, Canton du Valais, Suisse à l’âge de 70 ans. Il a épousé Erika Aurora RUNDEBERG, fille de Carl Olaf RUNDEBERG et M. BUBERGH, le 15 décembre 1883 à AVULLY, -, Genève, Suisse. Elle naquit le 1 mars 1855 à Stockholm, , , Suede et morte le 23 octobre 1918 à MONTHEY, -, Canton du Valais, Suisse à l’âge de 63 ans.
- Génération 3Retour en haut de la page
Mélina Flore GRANDJEAN, fille de Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Francine Joséphine FRÉMAUX, naquit le 13 mars 1880 à PORT VINCENT, -, Louisiane, USA et morte le 1 août 1917 à PONCHATOULA, -, LOUISIANE, USA à l’âge de 37 ans. Elle a épousé Henry Joseph GABRIEL le 3 août 1907 à PONCHATOULA, -, LOUISIANE, USA. Il naquit le 4 février 1880.
Enfants de Mélina Flore GRANDJEAN et Henry Joseph GABRIEL:
- Edmund Henry GABRIEL (1908–1989)
- Harriet Louise GABRIEL (1910–1973)
Léon Henri GRANDJEAN, fils de Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Francine Joséphine FRÉMAUX, naquit le 9 janvier 1882 à PORT VINCENT, -, LOUISIANE, USA et mort le 16 janvier 1950 à CIMETIERRE ST LOUIS, NEW ORLEANS, Louisiane, USA à l’âge de 68 ans. Il a épousé Rose TODD vers 1911 à -, -, Louisiane, USA. Elle est décédée le 11 février 1952 à GREENWOOD CEMETERY, BRONX, New York, USA.
Enfants de Léon Henri GRANDJEAN et Rose TODD:
- Georges Henry GRANDJEAN (1913–1914)
- Irvin Léon GRANDJEAN (1916–1983)
Caroline Reine GRANDJEAN, fille de Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Francine Joséphine FRÉMAUX, naquit le 5 septembre 1884 à PORT VINCENT, -, LOUISIANE, USA et morte le 15 janvier 1961 à NEW ORLEANS, -, LOUISIANE, USA à l’âge de 76 ans. Elle a épousé Joseph Albert MORENO, fils de Franck MORENO et Anna Louise SANCHEZ, le 21 novembre 1906 à NEW ORLEANS, -, LOUISIANE, USA. Il naquit le 24 février 1883 à NEW ORLEANS, -, LOUISIANE, USA et mort le 14 janvier 1961 à l’âge de 77 ans.
Enfants de Caroline Reine GRANDJEAN et Joseph Albert MORENO:
- George MORENO (1908–1981)
- Joseph Albert MORENO (1912–1992)
- Louise Sanchez MORENO (1915–2003)
Louis Emile GRANDJEAN, electricien, fils de Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Francine Joséphine FRÉMAUX, naquit le 10 juillet 1889 à NEW ORLEANS, -, LOUISIANE, USA et mort le 24 décembre 1923 à MEMPHIS, -, TENNESSEE, USA à l’âge de 34 ans.
Sidney George GRANDJEAN, electrical Contractor, fils de Georges Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Francine Joséphine FRÉMAUX, naquit le 15 octobre 1891 à NEW ORLEANS, -, LOUISIANE, USA et mort le 26 septembre 1968 à JEFFERSON PARISH, -, LOUISIANE, USA à l’âge de 76 ans. Il a épousé Gertrude Marguerite DARCEY, fille de Peter Joseph DARCEY et Marie Oceana PIERCE.
Enfants de Sidney George GRANDJEAN et Gertrude Marguerite DARCEY:
- Shelby George Henry GRANDJEAN (1921–1922)
- Détails privés
Jules Henri « Henri » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, cuisinier, fils de Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Marguerite Angèle PERRET, naquit le 20 février 1883 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse et mort le 1 juin 1948 à LIMA, -, Lima, Pérou à l’âge de 65 ans. Il a épousé Jeanne Bertha WOLFER, fille de Jacob WOLFER et Marguerite ZENGER, le 10 juin 1910 à SAINT LEGIER, -, Vaud, Suisse. Elle naquit le 23 février 1883 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse. . Il avait une relation avec Consuelo VALLEJO MURIANDA
Enfants de Jules Henri « Henri » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Jeanne Bertha WOLFER:
- Henri Fernand GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1908–1945)
- Victor Arnold GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1911–1991)
- Elisa GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE (1913–1944)
Jules Henri « Henri » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Consuelo VALLEJO MURIANDA avaient 2 enfants.
Louis Victor « Victor » GRANDJEAN-PERRENOUD, agent commercial dans le caoutchou (en 1905) et electricien, fils de Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Marguerite Angèle PERRET, naquit le 5 mars 1884 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse et mort en 1938 à NOZEROY, Jura, Franche Comté, France à l’âge de 53 ans.
Enfants de Louis Victor « Victor » GRANDJEAN-PERRENOUD et Marie Marthe Céline GUYON:
- Roger Paul « Paul » GRANDJEAN-PERRENOUD (1911–1984)
- Raymond Victor GRANDJEAN-PERRENOUD (1913–2002)
Jeanne Berthe GRANDJEAN-PERRENOUD, couturière, fille de Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Marguerite Angèle PERRET, naquit le 19 novembre 1885 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse et morte le 5 avril 1976 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse à l’âge de 90 ans. Elle a épousé Georges BUGNON, fils de Marc Félix BUGNON et Magdeleine SCHEIDEGGER, le 24 août 1910 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse. Il naquit le 27 juin 1885 et mort avant 1976.
Arnold Fernand « Fernand » GRANDJEAN-PERRENOUD, peintre en bâtiment, fils de Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Marguerite Angèle PERRET, naquit le 6 janvier 1887 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse et mort le 27 janvier 1932 à PARIS, 14e Arrondissement, Ile de France, France à l’âge de 45 ans. Il a épousé Henriette Jeanne ALY, fille de Etienne ALY et Irma Rosalie BOURGOING, le 25 avril 1914 à PARIS, 7e arrondissement, Ile de France, France. Elle naquit le 3 avril 1892 à PARIS, 7e arrondissement, Ile de France, France.
Enfants de Arnold Fernand « Fernand » GRANDJEAN-PERRENOUD et Henriette Jeanne ALY:
- Fernande Marguerite GRANDJEAN-PERRENOUD (1915–2017)
- Jacques Gaston GRANDJEAN-PERRENOUD (1918–2012)
Louise Angèle GRANDJEAN-PERRENOUD, brodeuse (en 1921), fille de Victor Arnold « Arnold » GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Marguerite Angèle PERRET, naquit le 21 mai 1888 à LA CHAUX-DE-FONDS, -, Neuchâtel, Suisse. Elle s'est mariée 2 fois. La première fois, elle épouse Luc Arnold GINDRAT, fils de Frédéric Lucien GINDRAT et Marie BEGUELIN, le 2 juin 1921 à COURTELARY, , Canton de Berne, Suisse. Il naquit le 25 juillet 1894 à Les Cergnettes/Tramelan, Canton de Berne, Suisse. La deuxième fois, elle épouse Paul Edouard ZUMBACH le 2 octobre 1914 à LAUSANNE, -, Canton de Vaud, Suisse.
Berthe GRANDJEAN, fille de Henri GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE et Marie Eugénie AMSTUTZ, naquit le 6 décembre 1883 à OAKLAND, -, CALIFORNIE, USA et morte le 9 octobre 1942 à ALAMEDA, , , USA à l’âge de 58 ans.
Naissance | 1815 : Congrès de Vienne, devient un canton suisse (mais reste principauté prussienne jusqu'en 1848) Le 1er mars 1848, les Républicains neuchâtelois, partis du Locle, de La Chaux-de-Fonds, du Val-de-Travers et de la Béroche sous les ordres de Fritz Courvoisier, conquièrent le château et y installent un gouvernement provisoire, présidé par Alexis-Marie Piaget. Neuchâtel devient République et du même coup un canton suisse à part entière. |
Baptême | Parrain: Philippe Perret Marraine: Sophie Droz-dit-Busset |
Note partagée | Etabli à la chaux de fonds où il fût conseiller municipal - Conseiller Général pendant 22 ans- Membre du contrôle des matières d'or et d'argent- Fondateur et président des amis des arts- Fondateur de la société des secours, la prévoyance. Fait les campagnes de 1848 et 1856. Parti pour Genève en Septembre 1876 et pour San Francisco en Mai 1884. Henri a rejoint ses enfants à OAKLAND en 1884 Lived at La Chaux de Fonds where he was District Atorney, General District Attorney during 22 years; member of the Finanace Controle of Gold and Silver;founder and president of the Art Lovers; founder of La Prevoyance, assistance society. He took part in the campaigns of 1848 & 1856. He left for Geneva in September 1876 and for San Francisco, California in May 1884. Ancestor of Nathalie Grandjean Nelson, Olivier Grandjean Perrenoud, Jacques GP, Jean Claude GP, Patrick GPC |
Note | Domicilié à Genève lors de la naissance de Victor Arnold |
Note | Rappel historique du canton de Neuchâtel : Depuis le 12 septembre 1814, Neuchâtel est Canton suisse. Mais le nouveau canton demeure simultanément Principauté des Rois de Prusse. Cette situation ambiguë crée des tensions internes très passionnées. Le 1er mars 1848, les Républicains neuchâtelois, partis du Locle, de La Chaux-de-Fonds, du Val-de-Travers et de la Béroche sous les ordres de Fritz Courvoisier, conquièrent le château et y installent un gouvernement provisoire, présidé par Alexis-Marie Piaget. Neuchâtel devient République et du même coup un canton suisse à part entière. |
Note | La Chaux-de-Fonds XIXe-XXe siècles Pendant la première moitié du XIXe s., la condition des personnes ne change guère. La bourgeoisie de Valangin devient au contraire une force conservatrice; l'accession au titre de communier est difficile et onéreuse. La dette de la reconstruction de la ville alourdit la fiscalité. Les institutions ne sont pas modifiées; la commune des Planchettes créée en 1812 rejoint la mairie. Cependant l'industrialisation accélère le développement de la localité; la population double entre 1815 et 1849. Un nouveau plan urbain est tracé par l'ingénieur des Ponts et Chaussées Charles-Henri Junod (1835): l'extension se fait le long de la vallée et de la route principale suivant un alignement en damier. Après la période de crise des années 1816-1817, la production horlogère devient l'activité dominante de la ville. En 1847, La C. compte environ 4000 personnes occupées directement dans l'industrie horlogère, soit près du tiers de la population totale. Cette production voit l'apparition de ses premières formes d'organisation industrielle et commerciale: un Bureau pour le contrôle des métaux précieux est ouvert en 1819. Mais on reste dans une phase de division du travail et de développement des ateliers urbains. Les crises des années 1837-1839 et 1847-1848 incitent les fabricants à souhaiter une plus grande liberté de commerce et à se dresser contre les conservateurs qu'ils accusent de monopoliser le capital bancaire. La vie économique de La C. est donc étroitement liée aux événements de 1848. Elle favorise par ailleurs de nouvelles organisations sociales et culturelles. Parallèlement à la multiplication des églises protestantes, une paroisse catholique est fondée en 1834 et un embryon de communauté juive s'installe à La C. Une loge maçonnique fondée en 1819 complète les cercles républicains, dont l'Union, créée vers 1830, puis une section allemande du Grutli en 1845. Les idées progressistes et républicaines circulent grâce à cette organisation sociale. En plus des écoles, les premiers équipements culturels se développent, comme la bibliothèque et le théâtre ou la section locale de la Société des sciences naturelles animée par Célestin Nicolet. D'autres associations caritatives se préoccupent de la santé et des conditons de vie de la population. Après la révolution neuchâteloise du 1er mars 1848, La C. devient le pôle économique du canton de Neuchâtel et accède au rang de ville moderne. Siège d'une préfecture (jusqu'en 1990), la ville devient également chef-lieu de district. Si l'ancienne commune bourgeoise survit jusqu'en 1888, elle est supplantée dès 1851 par une municipalité. Un Conseil général de quarante membres, organe législatif élu au suffrage universel, élit un Conseil municipal, exécutif composé de sept membres. Les radicaux dominent la vie politique de la cité jusque dans les années 1890. Mais l'action des radicaux est contestée par les libéraux qui se recrutent principalement dans l'ancienne bourgeoisie locale, ainsi que par les premiers socialistes, emmenés par Pierre Coullery (l'Association internationale des travailleurs comptera une section de quelque 250 membres en 1865). Ville, mais aussi la plus grande commune agricole du canton, La C. se dote d'infrastructures modernes: télégraphe (1852), chemin de fer à partir de 1857, réseau d'égouts, etc. L'arrivée de l'eau courante de l'Areuse, en 1887, constitue un des points forts de la modernisation de l'équipement urbain. Malgré les crises qui jalonnent le XIXe s., la ville devient selon le mot de Marx "une seule manufacture horlogère" et peut être comparée à une ville américaine par son urbanisme mais aussi par son melting-pot. L'essor du secteur horloger (4505 sur 8954 personnes actives en 1870) entraîne l'arrivée de nombreux migrants, Suisses pour la plupart, puis Italiens occupés dans la construction. Des juifs venus d'Alsace constituent une colonie importante du point de vue économique et culturel, avec une grande synagogue inaugurée en 1896. A la fin du XIXe s., la fabrication horlogère subit une profonde mutation en passant de la production dispersée à la fabrication mécanisée dans des manufactures de petite taille. Ces regroupements s'accompagnent de la création d'associations professionnelles et de syndicats. La Chambre suisse de l'horlogerie ouvre ses portes à La C. en 1900. L'influence de l'horlogerie se fait également sentir dans les secteurs de la culture et de l'enseignement. En 1850 l'ancienne Chambre d'éducation est remplacée par une Commission d'éducation et les pouvoirs publics accordent tous leurs soins à l'édification d'écoles, comme le collège industriel en 1876, qui deviendra gymnase en 1900 et abritera aussi la bibliothèque ainsi que les musées. L'école d'horlogerie, fondée en 1865, sera complétée par un technicum et une école d'art destinée à la formation des bijoutiers et graveurs. Charles L'Eplattenier et Charles-Edouard Jeanneret (Le Corbusier) y enseigneront et joueront un rôle important dans l'embellissement de la ville, à l'exemple de la Villa turque construite par Le Corbusier en 1917 ou le Musée des beaux-arts dû aux architectes René Chapallaz et Charles L'Eplattenier. Une école de commerce inaugure ses nouveaux locaux en 1913. Malgré la multiplication des lieux de cultes, comme la construction d'un temple allemand en 1853 et la reconstruction du Grand temple après son incendie en 1919, voire la création de l'Union chrétienne animée par le pasteur Paul Pettavel, La C. n'échappe pas à la désaffection de l'Eglise constatée dans les villes industrielles. On assiste par contre à une animation intense autour des cercles, des musées, des salles de musique et de théâtre ainsi qu'au développement de nouvelles formes de loisirs avec les clubs sportifs. La fin du XIXe s. et les premières années du XXe s. sont marquées par de graves conflits sociaux qui culminent avec la grève des maçons en 1904, soutenue par le parti socialiste et l'Union ouvrière. La commune radicale devient socialiste en 1912 avec l'introduction du système proportionnel. En 1918, le nombre des conseillers généraux passe de 40 à 41 sièges. Dès 1917, la guerre et les difficultés provoquent à nouveau des tensions. La ville est occupée militairement à deux reprises à la suite de manifestations antimilitaristes et favorables au leader socialiste Ernest-Paul Graber. Nonobstant la création d'un parti progressiste national dirigé par l'avocat Arnold Bolle et du parti communiste dans lequel s'illustre Jules Humbert-Droz, le parti socialiste, emmené par Charles Naine, conserve la majorité lors des élections de 1921 et le mouvement coopératif connaît un développement important dans l'entre-deux-guerres. Après son interdiction, le parti communiste se transforme en parti ouvrier et populaire (POP) en 1944 et occupera, dès 1948, un siège au Conseil communal aux côtés de deux socialistes, un radical et un libéral-progressiste-national. La nécessité de diversifier les activités économiques devient une des préoccupations majeures des pouvoirs publics car l'horlogerie ne peut à elle seule résorber le chômage qui touche plus de 14 000 personnes dans le canton au début de l'année 1933. En 1934, La C. et Le Locle créent l'ORIN (Office neuchâtelois pour la recherche d'industries nouvelles) qui permet de faire venir des fabrications diverses, comme celle des appareils de radio. L'expérience est poursuivie dans le cadre de l'OECN (Office économique cantonal neuchâtelois) fondé en 1944. Avant la Deuxième Guerre mondiale près de 500 personnes sont occupées dans ces nouvelles fabriques, résorbant ainsi 50% du chômage féminin. La C. conserve son caractère de ville industrielle. En 1941, 64% de la population active est occupée dans le secteur secondaire, dont 56% dans l'horlogerie. Cette tendance sera renforcée par la forte croissance économique qui suit la Deuxième Guerre mondiale, jusqu'au milieu des années 1970. En 1975, la ville perd plus de 1000 habitants et plus de 2000 emplois, principalement dans l'horlogerie. La commune adhère à la Région Centre-Jura, qui regroupe dix-sept communes, reconnue par la Loi fédérale sur l'aide en matière d'investissements dans les régions de montagne (LIM) en 1976. En 2000, le secteur secondaire fournissait moins de la moitié des emplois. La construction qui s'est poursuivie pendant l'entre-deux-guerres reprend à partir des années 1950; la ville s'étend surtout en direction de l'ouest, dans le quartier des Forges; une zone industrielle accueille de nouvelles usines aux Eplatures où se situe également l'aéroport régional (1926, modernisé en 1956). L'urbanisme est marqué par une plus grande dispersion, la prolifération de quartiers de villas au sud et au nord, et perd de sa cohérence. Dans les années 1980 une campagne de réhabilitation du centre et des éléments d'Art nouveau est entreprise. La croissance de la ville entraîne aussi la construction de nouvelles écoles pour tous les degrés de l'enseignement et de la formation professionnelle. Un gymnase est inauguré en 1971. L'hôpital, ouvert en 1898, remplacé par une institution moderne en 1960, abrite un centre cantonal d'oncologie-radiothérapie ainsi que l'Institut neuchâtelois de microbiologie. De nouveaux lieux de culture sont édifiés, comme le Club 44 (1944), la Salle de musique (1955), le Musée paysan (1971), le Musée international de l'horlogerie (1974) et son Institut l'Homme et le Temps (1989). Le Théâtre populaire romand a installé son siège à La C. depuis 1968. Aux églises construites au début du XXe s. s'ajoutent quelques édifices, comme le temple Saint-Jean en 1972. La sociabilité chaux-de-fonnière s'est également épanouie dans les sports collectifs comme le hockey sur glace et le football. La C. ne possède pas de banlieue et s'affirme comme une "ville à la campagne", étroitement solidaire du monde rural qui l'entoure. Les hameaux voisins, dans la région de Valanvron ou des Joux Derrière abritent des fermes qui ne sont pas toutes des résidences secondaires. La paysannerie de La C. pratique essentiellement l'élevage. Par ailleurs, les Chaux-de-Fonniers ne délaissent pas leur campagne et la colline de Pouillerel ou les bords du Doubs sont des lieux d'excursion appréciés. Auteur: Jean-Marc Barrelet |
Note | Histoire de la chaux de fonds avant le 19e siècle : XVIIe-XVIIIe siècles Il semble que la guerre de Trente Ans (1618-1648) soit à l'origine d'une première croissance de La C. grâce à sa position géographique propice au commerce. Après plusieurs demandes, les habitants obtiennent l'établissement d'une mairie. Le 2 décembre 1656, Henri II d'Orléans-Longueville, prince de Neuchâtel, signe l'acte d'établissement. Ainsi la paroisse devient aussi un ensemble administratif (commune) et judiciaire (mairie), doté d'un tribunal de basse justice. La commune peut désormais organiser trois foires annuelles et un marché hebdomadaire. Les frontières sont légèrement modifiées par l'adjonction du quartier de Boinod au sud. Abraham Robert (1619-1679), notaire et secrétaire du Conseil d'Etat, est désigné comme maire par le gouverneur Jacques d'Estavayer-Mollondin. La cour est formée de douze justiciers, d'un greffier et d'un sautier. Le maire préside la cour de justice, assiste aux séances du Conseil de la communauté et de la Communauté générale. Il siège également au consistoire. Un lieutenant le seconde dans ses tâches. Robert révisa les reconnaissances et établit une Description de la frontière des Montagnes de Valangin. Une première école communale ouvre ses portes en 1688. Quelques vestiges de fermes témoignent d'une relative prospérité économique au XVIIe s. Mais le développement de l'artisanat demeure modeste. La vie économique ne prend vraiment son essor qu'au XVIIIe s. avec l'apparition de la fabrication des dentelles et de l'horlogerie qui s'est propagée à partir de Genève le long de la chaîne jurassienne pour venir compléter l'activité des agriculteurs et des artisans. La C. ne dispose pas de ressources minières mais ses forgerons, serruriers ou armuriers connaissent le travail des métaux. Au milieu du XVIIIe s., on recense sur le territoire de La C. environ 500 dentellières. Elles ne seront plus que 300 vers 1800, l'industrie horlogère concurrençant très fortement celle de la dentelle. Dès le début du XVIIIe s., l'horlogerie prend les aspects d'une véritable industrie selon le système de l'établissage, du travail à domicile (Verlagssystem) et la fabrication en parties brisées. La C. est surtout connue pour la fabrication des pendules qui sont vendues dans les foires. On recense 68 penduliers, 8 ébénistes et 4 fondeurs de bronze vers 1750. Quelques grands penduliers contribuent à la renommée de La C., comme Josué Robert, horloger du roi, ou Pierre Jaquet-Droz et sa famille, connu pour ses automates. Le cadre libéral facilite l'immigration d'ouvriers venus de Suisse, spécialement de Genève et de Franche-Comté, qui viennent renforcer la main-d'œuvre locale. Les horlogers favorisent l'apparition de toute une civilisation qui transforme les mentalités comme les manières de vivre des habitants de la petite localité. Les propriétaires, regroupés dans la "Compagnie du village", s'occupent de l'aménagement urbain et de ses infrastructures. Les différences de condition entre les communiers (bourgeois et francs-habergeants) et les habitants (non communiers) sont des sources de tensions sociales. Bourgeois de Valangin et de Neuchâtel ne sont pas non plus placés sur le même pied dans la principauté. Ces tensions ainsi que les échanges fréquents avec la Franche-Comté et la circulation des idées expliquent le retentissement de la Révolution française dans les Montagnes neuchâteloises. Particulièrement à La C. où une importante société patriotique contribue à diffuser les idées révolutionnaires. En 1793, de nombreux horlogers, après une vive répression, choisiront de s'installer à Besançon où l'on recense l'arrivée de plus de 1800 horlogers suisses entre l'an II et l'an IV (septembre 1793-septembre 1795). En 1794 d'ailleurs, le grand incendie qui ravage la ville, apparaît comme le symbole d'un châtiment. Sous l'impulsion du graveur Moïse Perret-Gentil et avec l'aide du Conseil d'Etat, la ville est rapidement reconstruite selon un plan qui forme le cœur de la cité moderne. Un nouveau temple, de forme ovale, est reconstruit à l'emplacement de la première église. L'hôtel de ville sera édifié entre 1803 et 1805. |
Note | En 1852, dissolution de la Bourgeoisie de VALANGIN. |
Note | Horloger de grand talent, Henri Grandjean a reçu de nombreuses distinctions et récompenses pour ses différentes inventions au cours de sa carrière d'horloger, lors de concours et expositions en Suisse aussi bien qu'à l'étranger. L'inévitable parcours d'horloger Né en 1803 au Locle, Henri Grandjean est un horloger, fabricant de montres de poche, de chronomètres de marine et de petits et gros carillons. Il mène également une carrière d'homme politique. Il est notamment connu pour être le fondateur de la Swiss Marine Chronometer Industry, en partenariat avec les horlogers Ulysse Nardin et Louis JeanRichard. Membre de la prestigieuse famille d'horlogers Grandjean Perrenoud Comtesse, issue de la vallée de la Sagne et des Ponts-de-Martel, il était presque inévitable pour Henri Grandjean de travailler dans le monde de l'horlogerie haut de gamme. Après avoir suivi un apprentissage du métier d'horloger dans sa région, il se rend en 1824 au Brésil pour gérer les comptoirs horlogers que son père y a créés. Il en profite alors pour visiter de nombreux pays d'Amérique latine. Il rentre finalement au Locle en 1830 et se marie l'année suivante avec Élise Montandon. L'aventure neuchâteloise De retour au Locle, Henri Grandjean s'adonne à la chronométrie de précision et entame la construction de son premier chronomètre de marine. Très vite, il en fabrique de nombreux ainsi que des montres marines. Ses créations sont soumises à l'observatoire de Neuchâtel et une grande partie d'entre elles obtiennent des bulletins de marche de premier rang. Sa renommée va grandissant et, en 1856, il est nommé membre étranger de l'Institut des arts unis de Londres. En 1858, il fonde un comité neuchâtelois pour le perfectionnement de l'horlogerie. Acteur de premier plan dans sa région, Henri Grandjean est à l'origine du quartier du Progrès au Locle et fut également le promoteur de la construction de l'observatoire situé à Neuchâtel. Esprit toujours tourné vers le progrès, il est également connu pour avoir défendu ardemment l'installation de la ligne ferroviaire du Jura industriel. Le parcours politique À partir de 1842, Henri Grandjean démarre une carrière politique. Il occupe tout d'abord le poste de préfet du Locle et, à compter de 1848, il est nommé député au Grand Conseil, fonction qu'il exercera jusqu'à sa mort. Il sera également conseiller national de 1858 à 1861 et de 1867 à 1870. Ses convictions politiques républicaines manqueront de lui coûter cher lors de la contre-Révolution de 1856. En effet, poursuivi par une colonne royaliste, il est sauvé in extremis par un homme qui le cache chez lui. Que ce soit pour son métier d'horloger ou pour la politique, Henri Grandjean a toujours manifesté une forte implication dans ce qu'il entreprenait. |
Note | GRANDJEAN PERRENOUD, Henri (1821-1887) Graveur en horlogerie né le 28 avril 1821. Il fait ses classes à Neuchâtel, puis achève son instruction primaire à La Chaux-de-Fonds où sa famille se fixera. Ses goûts artistiques le portant vers le dessin et la gravure, il entre en apprentissage dans l'atelier Klentschi où il ne tardera pas à se distinguer. Il y reste quelque temps comme ouvrier avant de fonder un atelier de décoration qui va acquérir rapidement une réputation méritée. L'art est la principale préoccupation d'Henri Grandjean et il arrivera à se faire dans ce domaine une place remarquable. Il remporte des récompenses distinguées aux grandes expositions internationales de New York, Londres et Paris. Il est le principal fondateur à La Chaux-de-Fonds de la Société des Amis des arts. Il fait partie pendant de longues années de l'administration du Contrôle et du conseil général de la municipalité. Toujours disponible, il ne se fait pas prier pour rendre service ou pour donner de bons conseils. En 1877, il quitte La Chaux-de-Fonds avec sa famille pour s'établir à Genève. En 1882, il accompagne l'une de ses filles en Californie, puis, finalement s'y fixe et fait venir aux Etat- Unis presque tous les siens. Il décède à Oakland le 28 août 1887. (Réf.: Le véritable messager boiteux de Neuchâtel, 1889 |
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Objet média | Format : image/jpeg Dimensions de l’image : 202 × 255 pixels Taille du fichier : 13 Ko Type : Photo Image principale : oui Note : Photo prise dans "Le livre d'or du cinquantenaire" 1848-1898 de la Révolution neuchâteloise paru à l'époque, avec les photos de tous les membres qui ont participés par districts à la Constituante. |
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